Par exemple, une chanson intitulée « Lorsque les frictions entre le Nord et le Sud eurent pour conséquence la Les estimations varient énormément, mais au moins 30 000 esclaves, et peut-être plus de 100 000, ont fui vers le Canada par le biais du chemin de fer clandestin. William Still; The underground railroad. Des milliers d'autres rejoignirent à nouveau le Sud américain après la fin de la guerre. Collection. Dans des quotidiens du sud, on trouvait souvent des pages remplies d'entrefilets sollicitant des renseignements sur les esclaves en fuite et offrant de considérables récompenses pour leur capture et leur retour. Les « Certificats de Liberté », des déclarations signées et notariées, attestant du statut de liberté attribué à un homme noir, pouvaient facilement être détruits, accordant ainsi peu de protection à leurs bénéficiaires. Ce terme s'appliquait également à tous ceux qui aidaient les fugitifs : aux abolitionnistes, aux Noirs, aux Blancs, aux personnes libres ou aux esclavesMême lorsque le chemin de fer clandestin était à son apogée, moins de 1 000 esclaves détenus dans les États esclavagistes réussissaient à s'échapper chaque année (un peu plus de 5 000 Les personnes s'organisaient souvent en petits groupes indépendants afin de garder leur action secrète, car elles connaissaient certaines « gares » de correspondance le long de la route mais ne savaient que peu de détails concernant le reste du réseau. Selon Still, les messages étaient souvent codés afin que seules les personnes ayant un rôle dans l'opération du chemin de fer puissent les comprendre.
Les Le risque ne se limitait pas seulement aux fugitifs. En dépit de leur résistance face aux lois en faveur de l'esclavage, plusieurs États étaient peu enclins à accueillir les Noirs libres.
The Underground Railroad, a rare book written in 1872 by William Still, is considered an important yet scarce publication detailing historical accounts of aiding slaves to freedom. Il y avait les « chefs de train » qui, en définitive, étaient chargés de déplacer les fugitifs de station en station. Le premier ouvrage publié, ayant pour source une Il n' y a aucune preuve contemporaine attestant de l'existence d'un quelconque code de la courtepointe, et les historiens qui s'y sont intéressés, tels que Pat Cummings et Barbara Brackman ont soulevé de sérieuses questions à ce sujet. Par exemple : La théorie du motif de la courtepointe est contestée. » Bien que l'esclavage n'existât plus dans les colonies britanniques après 1834, la discrimination était encore monnaie courante. Les esclaves voyageaient de nuit, environ 15 à 30 Même si les fugitifs voyageaient parfois en bateau ou en trainLes itinéraires étaient souvent délibérément indirects pour semer la confusion parmi les poursuivants. The Underground Railroad Records is an 1872 book by William Still, who is known as the Father of the Underground Railroad. Bon nombre de nouveaux arrivants rencontraient d'énormes difficultés pour trouver du travail, en partie à cause d'une immigration européenne massive à cette époque, et le racisme manifeste était fréquent. De nombreuses sources populaires, non académiques, prétendent que des spirituals et d'autres chants, comme « Steal Away » ou « Follow the Drinking Gourd », contenaient des renseignements codés et aidaient des personnes à se diriger sur le chemin de fer, mais ces sources apportent très peu de preuves appuyant leurs dires. Le Congrès, composé essentiellement d'élus provenant du sud en raison de l'intégration des esclaves dans les décomptes de la population totale, avait adopté la Dans certaines régions du nord, les chasseurs d'esclaves avaient besoin d'être protégés par la police pour exercer leur autorité fédérale. Jugés costauds, les Noirs en bonne santé, dans la force de l'âge pour travailler et se reproduire, étaient considérés et traités comme des marchandises de valeur. Le « chef de train » se prétendait parfois lui-même esclave afin de pouvoir accéder à une Une fois accepté dans cette plantation, le « chef de train » emmenait les fugitifs vers le nord.
Par exemple, la charte de la ville de Avec le déclenchement de la guerre de Sécession aux États-Unis, de nombreux réfugiés noirs s'enrôlèrent dans l'Armée de l'Union et, bien que plus tard certains retournèrent au Canada, beaucoup restèrent aux États-Unis. Par exemple, le message suivant, Depuis les années 1980, on prétend que les motifs dessinés sur les Le code avait un double sens : tout d'abord signaler aux esclaves de se tenir prêts à s'échapper et ensuite donner des indices et indiquer les directions à suivre pendant le voyage.
Sur le chemin de fer, les « chefs de train » venaient d'horizons divers : on trouvait parmi eux des Noirs nés libres, des abolitionnistes blancs, d'anciens esclaves (qui s'étaient enfuis ou qui avaient été affranchis), et des Pour réduire le risque d'infiltration, de nombreuses personnes associées au chemin de fer clandestin ne connaissaient que le rôle qu'elles avaient à jouer dans l'opération mais ignoraient tout du reste.